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© La Juvaquatre RHP 2006
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Il faut bien s'y faire, la 4ème rencontre Internationale des Juvaquatre et Dauphinoise c'est déjà du passé. Le temps est venu de faire le compte rendu de ces mémorables journées. 36 Voitures différentes sur les 4 jours, se sont retrouvées sur les routes du Loir et cher et de l' Indre et Loire. C'est un nouveau record!
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Quelques chiffres sur cette 4ème rencontre. Nous avons vu 7 coachs d' avant guerre. soit 10 Dauphinoise R2101 Sur les 36 Juva, 16 n' avaientjamais participées aux précédents rassemblements. La plus ancienne est la Juvaquatre coach d' Hervé Yung sortie des chaînes en juillet 1938 restée dans son Jus. 21 ans d'éccart! En terme de participant, nous avons été jusqu 'à 72 personnes. |
Jeudi 25 mai 2006
La météo consultée la veille n' annonçait pas de bonne nouvelle, soit! Les Juvapotes sont habitués, vont-ils renoncer à se rendre dans le Val de Loire à cause d'une météo capricieuse? non et puis la Loire n'est-elle pas une frontière météorologique? N' avons nous pas entendu à maintes reprises à la TV ou à la Radio lors du flash météo "pluie au Nord de la Loire soleil au sud". Le programme prévoit le logement au nord mais toutes les visites se feront au sud alors. 10h comme prévu, j' arrive au Domaine de Seillac à bord de la Dauphinoise du Club, elle est bien chargée, c'est dingue ce que l'on peut mettre dans un break, le voyage s'est bien passé, le départ au petit matin de la région Parisienne y est sans aucun doute pour beaucoup. Surprise sur le parking du domaine de Seillac, plusieurs Juva sont déjà là, l' ouverture officielle du rassemblement est pourtant programmée pour le début d' aprés-midi. Je remarque immédiatement le somptueux break de Pierre Pérousse sur un plateau attelé à un gros 4x4. Un message reçu la veille au soir envoyé par un vieille Irlandais de Reims m' annonçait de mauvaise nouvelle et pourtant si, Alex et Piero sont bien là, après avoir grillé l' embrayage de l' espace d'un ami sur le périphérique de Lyon , Piero ne voulant pas renoncer est retourné chez lui et a emprunté le Toyota de son pére c'est pas à H-12 qu'il va renoncer à son premier rassemblement, Alex me confie qu'il avait bossé fort pour fignoler leur bijou.
Jean-Pierre (Jpv) est venu en famille de très loin voir de prés ses Juvapotes qu'il côtoie sur le forum. Thierry 10 et Murielle sont là aussi sans Juva car la leur n'est pas terminée. Philippe alias Caliméro est venu avec Mauricette son épouse et les enfants Clément et Julie. Eric et Bernadette sont là aussi l'AEB3 toujours en cours de restauration. René et Gloria avec les garçons Tristan et Arno. Damien est venu avec Hervé qui est passé le chercher dans sa Bourgogne. Même sans Juva un Juvapote reste un Juvapote et sera toujours le bienvenu seul ou en famille à nos rassemblement. D' ailleurs ils trouveront tous place à bord des Juva pour les balades. Plusieurs équipages sont arrivés depuis la veille, les plus éloignés les sudistes. Il ne faut pas perdre de temps nous avons les pochettes d' accueil à préparer, je demande de l' aide auprès de Juvamies qui ne se font pas prier pour donner un coup de main.
Très rapidement, les pochettes sont prêtes, une affiche,un auto-collant, un carnet de route, un porte-clé collector, un badge, et une série de dépliant touristique préparé par l'office de tourisme d'Amboise et bien entendu la superbe plaque de Rallye créée pour l'occasion par Frederic Connan..
Sur ce arrive la surprise. C'est Richard Ortynski un Juvapote de la Niévre qui est au volant de son camion. Le secret était bien gardé, ce week-end Richard doit installer sa station du coté de Montrichard dans le cadre d'un grand rassemblement de cox et quand il a su que les Juva étaient attendues dans la même région, il m'a spontanément proposer de nous faire une animation pour le premier jour. merci Richard
Daniel Couvreur est épicier conteur, lui aussi est venu mais avec une épicerie accompagné par Danielle qui jouera de la musique.
C'est déjà l'heure du déjeuner. De retour sur le parking d' autres Juva sont arrivées. Georges m'appelle au téléphone pour me dire qu'il sera en retard la pompe à essence de sa Juva lui a causé des problèmes le matin même; " ne t' inquiète pas on ne prévoit le départ pour notre première randonnée qu 'à 16h30 tu as le temps d'arriver ne fait pas la course". Petit à petit le parking se rempli, "il faut aller parquer vos plateau au fond du parc". Tous reçoivent leur pochette d' accueil et se pressent de fixer leur plaque sur l' avant de leur Juva "on la pose à droite ou à gauche?" s' inquiète Michel " , "il n'y a pas de règle fait au mieux". Arrive la "triplette de Reims" Lolo en coach Alain en berline et JJlux en berline aussi, ils arrivent sans problème par la route en mini convoi depuis Reims. Jean-Jacques offre à José un super cadeau, l' exacte reproduction de sa Dauphinoise au 1/43 le Marseillais n' en revient toujours pas! Tout y est, la bonbonne et la valise sur la galerie, la plaque de rallye du Médoc etc... Dans la catégorie "je suis aussi venu par la route avec ma Juva". Plus de la moitié des voitures sont arrivées par la route et pas toujours pour les distances les plus courtes. Jérome Kress en Dauphinoise 187 km
Dans la catégorie je viens de très loin et j'apporte ma Juva sur un plateau. Michel et Giséle Bolle Fourgonnette R2100 de 1956 Voir un diaporama de toutes les voitures de ce rassemblement.
Il est temps de faire passer l' une après l' autre les autos devant la station service, le pompiste en tenue d' époque nous fait bien rire, il propose l' essence à 95 centimes de franc, vous passe un coup de nenettte sur le capot, vous complète l' eau du radiateur quel comédien! Nos Juvapotes jouent le jeux mais il faut se presser un petit peu sinon on va y passer la nuit. J'ai un peu de mal à faire passer le message à Richard qui prend son rôle à coeur. Georges et Nicole sont arrivés, la fuite d' essence de la pompe est très vite réglée par une bande de Juvamécanopotes et le coach passe à son tour à la station. Et c'est le départ de la randonnée.
Le gros de la troupe est déjà loin, Georges est devant moi pas facile de le guider ainsi car c'est moi qui dois lui montrer la route! Et ce qui devait arriver arriva Georges n'a pas tourné là où il le fallait, ça tombe bien ainsi il tombe sur Alain et son épouse qui venaient à notre rencontre et qui à 10 secondes prés nous manquaient. Nous rattrapons le convoi à l'entrée de Blois. Un second regroupement se fait sur le pont de la Loire, je râle car il ne faut pas gêner la circulation et qui dit arrêt dit Juvapotes qui abandonnent leur voiture "pour-faire-une-photo" et il y en a toujours un qui-ne-se-presse-pas et qui bloque tous les autres donc un regroupement qui ne sert à rien puisque tous repartent au gré de la circulation. Fred lors de son dernier repérage a trouvé un coin sympa à Candé sur Beuvron, c'est là au bord du Beuvron que nous faisons notre pause goûter.
Nous repartons vers Seillac, la première randonnée s'est déroulée sans encombre. Chacun prend possession de son logement, les couples logent au château, les familles et les copains dans les chalets répartis dans le parc. L' équipe du domaine de Seillac nous convie à un pot de bienvenue sur la terrasse du château puis nous nous retrouvons tous dans la salle de restaurant pour notre premier repas. René offre à Thierry, un tee-shirt du rassemblement, je ne sais toujours pas pourquoi le tee-shirt est rose. A la tombée de la nuit sur le parking, Guy tente de démarrer son moteur Ventoux fixé sur banc, c'est la première remise en route après réfection totale. Tout ne se passe pas aussi bien que prévu, tout le monde y va de son conseil, « la batterie est faible », « le démarreur en a un coup », « les bougies sont mortes » etc…. Finalement un bon calage de l'allumeur plus tard, et finalement le Ventoux se mettait à tourner avec un bruit bien sympathique devinez qui était le plus heureux ? Plus loin dans le Chalet de la Famille Alexandre, René faisait une démonstration de son prototype de clignoteur sans fil sur lequel nous reviendrons. Un passage au Bar pour un dernier vert offert par le René et tout le monde au lit. Demain nous devrons avoir quitté Seillac à 8h30.
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Vendredi 26 mai 2006
Après le petit déjeuner, en route pour Amboise, nous y exposons nos Juva sur un emplacement de choix que nous a réservé la municipalité grâce à l' intervention de Guy Nemery qu'il faut remercier pour s' être occupé de cela. Chacun est libre de faire ce qu'il veut. Certains visitent le Clos Lucé d' autre le château, quelques-uns un profitent pour faire leur marché. Des Juva régionales de l' étape sont déjà arrivées. Florence et Eric Lefief avec leur Dauphinoise, Philippe Boutier accompagné de son épouse avec leur superbe coach bicolore et pour un passage rapide avec son break R2100 Le Petit théâtre avec son break Dauphinoise. Plusieurs propriétaires de Juva sans leur voiture sont venus voir de prés les Juva. L' équipe Municipale emmenée par Monsieur Pineau vient aussi à notre rencontre.
A 11h30 nous sommes conviés dans la somptueuse salle des mariages de l' hôtel de ville d'Amboise pour un verre de l' amitié. Après le traditionnel discours, nous remettons à la ville d'Amboise un exemplaire de notre plaque de rallye qui porte entre autre le logo de la ville.
Nous reprenons la route, le long convoi de Juva traverse les villages devant les regards étonnés des villageois, ravis de voir de si belles autos, même les cyclistes nous font de grands gestes d' amitié. Au passage d'un bois, le Break de Denise n'a plus de puissance, Jean alerté, je ne sais comment rebrousse chemin pour voir ce qui se passe, visiblement la Juva tourne bien au ralenti mais dés que l'on lui demande de la puissance elle cale. Jean prend le volant on décide d' aider la Juva à décoller et nous sommes une demie douzaine à pousser la Juva, et ça marche il devait simplement y avoir une m…. dans le carbu.
Nous devons pique-niquer prés de l' étang d'Epeigné les bois, Fred rencontre des petits soucis avec son GPS et nous balade sur de très petites routes, mais très vite le bon chemin est retrouvé, les Juva se rangent sur le bord de la route il faut voir cette lignée de Juva c'est vraiment impressionnant et chacun s' installe pour le pique-nique.
Une fois ravitaillés, nous reprenons la route de Montrichard en passant devant le château de Mompoupon. Nous arrivons au Musée du Poids lourd, il y a un grand embouteillage devant le musée, après quelques manœuvres, les Juju trouvent leur place. Ce musée installé depuis 2005 dans une ancienne caserne de pompier offre aux visiteurs de belles pièces les enfants s' amusent beaucoup car ils peuvent prendre place dans les cabines de ces gros camions.
Nous reprenons nos Juva pour nous rendre sur le site des caves de Monmousseau, pour atteindre le parking il faut gravir une belle cote toutes les voitures y arrivent sans problème. les Juvapotes stationnent très vite leur voiture formant un incroyable « paquet de Juva », j'en profite pour faire la première photo de groupe.
Notre charmante guide nous attend pour pénétrer dans les galeries de la cave. La boulange est en forme il n' arrête pas de parler à voix haute quelle gouaille il a ce Lolo. Le but étant de déclencher le fou rire de la guide, mission accomplie. Il nous est tant bien que mal expliqué l' élaboration de ce vin qui n'a pas le droit de s' appeler champ…. En sortant des galeries, il nous est offert une dégustation j'en ai vu passer deux fois. Nous reprenons chacun à notre rythme la route de Seillac. Au cours du repas nous fêterons l' anniversaire d'Alexandrina le Dom lui fait souffler les bougies.
Dans la soirée sur la terrasse du restaurant, je retrouve des Juvapotes attablés autour d'une table mais que font-ils ? C'est une leçon de réfection d'une pompe à eau de 488 dispensée en direct live par JJLux, cette pompe est destinée au moteur de la berline de Rose-Marie.
Comme la nuit est agréable, nous organisons les premières séances de puzzle pour les Juvamies et Juvapotes qui n' avaient pas participés l' année dernière. Deux puzzles à grosses pièces sont à reconstituer, nous chronométrons tous les temps pour le concours. Il y a des écarts incroyables.
Petit à petit chacun se couche c'est déjà la fin de cette seconde journée.
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Samedi 27 mai 2006
Après le petit déjeuner nous partons pour Cheverny. La triplette de l'Eure nous a rejoint, Bruno, Laurent, Philippe accompagnés par leurs épouses et leurs filles. Les trois copains ont fait la route ensemble la veille pour être au rendez-vous du matin à Seillac. Pierre Gerbaud nous a rejoint aussi. Une à une les Juva prennent la route, mais sur le parking restent deux Juva celle de Jérôme qui a laissé le contact toute la nuit et qui a des problèmes pour démarrer et le break de José. Finalement Jérôme arrive à remettre en route sa Dauphinoise, arrive alors la famille Calimero (ils sont quatre) en quête de véhicule. « Dites donc les amis si vous souhaitez prendre place à bord des Juju il faudrait peut-être arriver plus tôt non ? » Heureusement que Jérôme n'est pas parti et que José et Rose-Marie arrivent enfin. « Marco tu nous avait dit que l'on n'était pas pressé ce matin » « ok mais on devait être parti à 9h il est 9h15 et en attendant tout le monde est déjà loin et moi aussi ciao » Clément est avec moi il me sert de Blaukpunt. Je rigole car je vois les mines attristées de Rose-Marie et de José qui doivent me dire au loin « mais on ne sait pas où on doit aller » Et moi imperturbable qui m' éloigne. Je stoppe ma Juju de fonction à la sortie du village. Je vois Jérôme débouler et tourner à gauche au lieu de tourner à droite je le klaxon il fait demi-tour. J' attends encore quelques longues minutes pour voir finalement arriver la Dauphinoise marseillaise pas plus rapide que d' habitude, je vois leur mine réjouit à l' idée qu'ils n' auront pas à se servir d'une carte ils n' ont qu 'à me suivre. Je leur fais prendre le raccourci dit « le raccourci de Thomas », c'est lui qui l' avait découvert la veille et finalement nous arrivons dans Onzain en même temps que le gros de la troupe ouf. Nous avions choisi Fred et moi de couper au plus court par les petites routes et comme de bien entendu en France sur les cartes vous voyez les routes mais sur le terrain l'absence de panneau vous fait perdre votre chemin. Appel du Fred : « je suis perdu, je ne sais plus où aller » son GPS lui joue encore des tours. Le cortège est scindé en deux. Je me retrouve à la tête d'une douzaine de Juva. Mon sens de l' orientation inné m' indique la direction à prendre oui mais voilà nous nous retrouvons au milieu d'une forêt et visiblement pas sur la route que je croyais bonne. Il y a là un restaurant et une dame m' indique un chemin forestier qu'il faut emprunter pour rejoindre une route, je décide de suivre ses instructions et je m' engage sur un chemin en terre, les Juju font du 4x4, je le sens mal ce chemin, j' imagine que l'on va rouler et se retrouver devant une barrière close mais non finalement au bout de quelques km nous débouchons sur une route bitumée ! Ouf! c'est déjà mieux mais toujours pas de panneau indicateur. Je stoppe pour regrouper les voitures derrière ça rigole et tout le monde-sort-des-voitures-pour-faire-des-photos, je peste et râle pour que tout le monde remonte en voiture, mince on est perdu, il n'est pas question de faire du tourisme, il n'est pas content le Marco. Finalement on retrouve la bonne route qui figure sur la carte et nous arrivons à Cheverny les autres Juva sont déjà stationnées sur le parking au pied de l' église.
Très vite Sandrine organise les entrées de notre groupe dans le Domaine de Cheverny, nous y visitons l' exposition"les secrets de Moulinsart" , les Tintinophiles sont aux anges, José fait le pitre pour rester correct car ce qu'il fait dans l' escalier est inénarrable. Rose-Marie et José esquissent même une danse dans la salle de concert de la Castafiore . Puis c'est la visite du chenil et du château. Il est temps de rejoindre le château de Troussay c'est là que nous devons déjeuner. En quittant Cheverny j' avais donné des instructions à chaque équipage pour que les voitures soient très bien parquées. Ce qui a été fait super bien Bravo les Juvapotes! Nous dressons des tables au milieu de la cours du château de Troussay car Papy Jean et Jean-Jacques cinquantenairisés cette année offrent l' apéritif, Sandrine pour l'occasion a confectionné une tonne d' amuse gueule et tout le monde s' en régale.
Les communs du château, nous accueillent pour notre déjeuner, à l' extérieur le soleil cogne dur et nous apprécions la fraîcheur des ces pièces pour notre repas. Après Alex hier soir, c'est au tour de Piero de souffler ses bougies. La visite du château est organisée en deux groupes, pendant que le premier visite le château, le second visite les jardins. Toutes et tous savent qu'ils recevront en fin de journée, un questionnaire sur ce qu'ils auront pu voir au cours des différentes visites qu'ils auront effectué, je m' amuse beaucoup à les voir compter le nombre de tour, le nombre de fenêtre sur la façade du château, le nombre de pique sur la fourche rangée dans une petite bâtisse au fond du jardin, il faut dire aussi que je me délecte à leur donner de fausses informations. La chaleur aidant, une pelouse accueillante, des arbres bien feuillus et certains en profite pour faire une petite sieste. Je réclame une photo de groupe et chacun s'y prête de bonne grâce.
Nous quittons Troussay, direction Fougère en Biévres.
La cours du Château fort édifié au 15 ème siècle accueil nos Renault.
La visite est plaisante, il faut voir les somptueuses charpentes. Au détour d'un chemin de ronde en haut des Murailles, nous apercevons en contre bas José et Philippe qui se reposent à l' ombre, nous sommes pile à leur verticale, qui des Juvapotes a eu l' idée de les arroser ? ça on ne le sait toujours pas, Guy et Jean mènent toujours l' enquête. Toujours est-il que le Marseillais quand il a reçu les première gouttes il s'est levé de son fauteuil comme jamais ça ne lui était arrivé auparavant, et a adressé un vilain geste à son agresseur quelle rigolade.
Nous reprenons le route direction Chaumont sur Loire. Les grilles du parc du château ont été ouvertes pour permettre à notre cortège d'y pénétrer.
C'est l' instant repos, chacun est libre de visiter le très beau château de Catherine de Médicis ou le festival des jardins ou bien tout simplement de se délasser. Il fait très beau. J' organise les dernières manches du jeu de puzzle. Puis c'est le retour vers Seillac, avec pour certain un arrêt essence à Onzain.
Après le repas de gala qui n' en avait que le nom, c'est la remise des récompenses. Bernadette, Eric et Thomas, se sont chargés du dépouillement des votes du public. Je les remercie pour ce travail car ce n'est pas une tache aisée. Comme le temps est clément nous nous installons sur la terrasse. Nous commençons par le tirage de la tombola, il faut remercier les enfants, Amélie, Estebane, Arno, Camille et Félise qui se sont chargés de vendre les tickets, toutes et tous ont très bien rempli leur mission bravo les Juvakids !
C'est Amélie qui procède au tirage des tickets. En jeux, des bouteilles de vins mais aussi des Juvaquatre miniatures dont les fameuses nouveautés au 1/18 ème .
Cette année, pour la première fois, nous avons décidé de créer trois catégories. il y a trois trophées par catégories. Le coup de coeur du public. Catégorie Coach et Berlines
Catégorie breaks
Catégorie Fourgonnettes
Une récompense est remise à l'équipage qui a parcouru la plus grande distance par la route,
Une coupe est remise à Denise et Jean Rémiatte pour tout d' abord les remercier d' avoirété les premiers à s' être inscrits à cette 4 ème édition mais aussi pour être venus avec deux Juvaquatre et ça c'est là une première bravo !. de plus Jean venait avec une des Juva sur un plateau tandis que Denise conduisait la seconde par la route Bravo!
La coupe de l' originalité est remise à Guy Nemery qui a apporté le moteur Ventoux qu'il venait de remettre en état et qui a réservé l' exclusivité de la première remise en route à ses Juvapotes.
La coupe de la panne est remise à Jean-François Janvier, plusieurs fois en panne avec la Juva que Nello lui avait prêté, cette année c'était donc son tour de jouer de la mécanique. Mais non Nathalie ce n'est pas galère de rouler en Juva.
.Pour le jeux des questions, il y avait 20 questions par jour (10 touristiques et 10 sur la Juvaquatre) 1er Alain Sassigneux avec 34 points 2ème Eric et Bernadette avec 33 points à noter leur 20/20 du premier jour mais un petit relâchement le second qui leur fera perdre la première place. 3éme Philippe et Mauricette Siebert avec 32 points. Pour le concours de Puzzle 1er Claudie et Alain Herbreteaux 2ème Geneviéve et Joël Perod 3éme Nicolas et Dominique O'Doard à noter que le record du plus mauvais temps détenu par G. et R. depuis le Médoc a été battu cette année par N. et G. bravo à toutes et tous pour votre participation. Et pour conclure Fred remettait à chaque participant, une plaquette souvenir. Eric fait un discours ventant les mérites de chacun et l' unité sans faille de cette grande famille que sont les Juvapotes Merci Eric. Jean Auzat et moi-même recevons chacun un somptueux cadeau, Une plaque émaillée façon plaque de rue avec nos Juva respectives. Fred pour des raisons techniques recevra la sienne très prochainement. Les Juvapotes ont souhaité remercier ainsi l' équipe organisatrice. Merci le Juvapotes.
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Dimanche 28 mai 2006
C'est déjà la fin .
Au petit matin, je surprends sur le parking un extraterrestre tout habillé d' orange qui fait un étrange bruit de froissement quand il se déplace, je reconnais le Marseillais, il tombe une légère bruine c'est sans doute pour cela qu'il a revêtu cette étrange combinaison, des fois qu'il se déclenche une tempête tropicale, notre homme sera paré. Je me cache derrière un arbre pour observer son manège et éclate de rire quand je l' entends pesté quand il a voulu ouvrir sa porte conducteur et le voir obligé de se glisser par la porte de droite pour aller déverrouiller le loquet tout engoncé dans sa combinaison de la NASA , ça c'est un grand moment.
José a décidé de charger sa Juva sur le « porte de char » Je ne comprends pas bien ce qui se passe avec son plateau, certes celui-ci est basculant mais même si il bascule il revient à l' horizontale, il y a une « marche » de 20 cm la Juju n' arrivera jamais à grimper ça ! José me demande de faire le contre poids, facile pour moi ça ! on ne rigole pas SVP ! Mais il faut mettre du poids là précisément où les roues doivent passer donc c'est une manœuvre de trapéziste à laquelle il faut que je me livre, heureusement il n'y a pas de caméra. Donc dés que la Dauphinoise a posé ses roues avant sur le plateau il faut vite que je me retire car en plus il lui faut de l' élan, bon après deux tentatives la Juju prend place sur le plateau, il se dégage une forte odeur d' embrayage cramé « ça fait tout le temps ça » dixit le José. Il ne va pas durer longtemps ton embrayage avec ce traitement.
Le temps est maussade et vire à la pluie mais les sourires sont toujours là, pourtant cela compromet le dernier pique-nique programmé ce midi.
Les plus éloignés des participants partent déjà les « au revoir » s' éternisent mais comme il pleut chacun remonte vite dans sa voiture. Tout compte fait, le temps s' améliore un petit peu, nous décidons de nous rendre tout de même au Paliau à Onzain La municipalité y organise un pique-nique en bord de Loire et a réservé un emplacement pour nos Juva. Une quinzaine d' équipage se regroupe pour un dernier convoi. Il ne pleut plus, un verre de l' amitié est offert par l' équipe municipale et chacun s' installe sous le barnum pour le dernier repas en commun. 14h c'est bien fini je quitte le site en dernier chacun ayant entamé leur route de retour. Quelques Juvapotes se rendent ensemble au rassemblement WW non loin de là, ils y retrouveront notre pompiste mais c'est une autre histoire. Jean Auzat centralise toutes les photos et vidéo qui ont été faites au cours de ces journées mémorables, bientôt le diaporama monté su Cdrom sera expédié à celles et ceux qui en ont fait la demande. Rendez-vous en 2007 pour les 70 ans de la Juvaquatre. Les photos de ce compte rendu, sont de Rose-Marie Torrés, Fred Connan, Pierre Gerbaud et Marc Sliwowski j'espére n' avoir oublié personne. Il faut remercier nos sponsors qui grâceà leur contribution ont permi que cette manifestation soit un succès . Nello Boyer possède une Juvaquatre qui est présente à chacun de nos rassemblements. L' imprimerie des Grouets et sa Juva bleue
Alain Goffart a participé à la restauration de la Juva n° 2 de ce rassemblement. © Marc Sliwowski pour la Juvaquatre Renault Home Page 06/2006
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